Spectacles, chroniques Radio et TV, presse écrite, l’humoriste vaudois Thomas Wiesel est partout. Caustique, touchant, il n’hésite pas à utiliser les drames de sa vie pour faire rire.
Médiatisation fulgurante, Thomas Wiesel, 28 ans, chef de file du renouveau de l’humour romand, est capable d’écrire des gags tous les jours. Ne vous fiez pas à sa dégaine de premier de la classe ni à son sourire angélique, Thomas Wiesel a la vanne féroce et décoche ses traits d’humour avec une précision incisive. Thomas Wiesel est un festival de cynisme, d’humour noir et d’analyses grinçantes sur tous les thèmes d’actualité. Avec Thomas Wiesel rien n’est tabou, il balance sur tout. C’est avec aisance, naturel et l’insolence de sa jeunesse qu’il dit tout haut ce que nous, on pense tout bas.
Sur scène, l’humoriste se tient seul, un micro comme unique allié. Sans costume ni accessoire, il s’adresse informellement au public, aborde tout, parle de sujets privés, mais évite aussi des personnages stéréotypés. Ce type d’humour, né de la culture anglo-saxonne a pris son essor en France avec le Jamel Comedy Club que Thomas a rejoint en 2014. « Je n’ai jamais su jouer la comédie et j’ai eu une révélation en découvrant que je n’en avais pas besoin pour faire rire.» En ce temps-là étudiant à HEC Lausanne, il termine son Bachelor et se lance sans retenue dans le monde de l’humour.
Depuis 2011, il parcourt les scènes Suisse et Française, participe au Festival de la Cité, à Morges-Sous-Rire et au Montreux Comedy Festival. Il a également distillé des chroniques d’humour en Suisse pour La Première, LFM, One FM, L’Hebdo ou le Temps. Il s’est également produit au Québec, à Londres ou en Belgique. Influencé par le stand-up anglo-saxon et par Pierre Desproges, vous n’avez pas fini d’entendre parler de son insolence. En 2017, il balance ses vannes dans l’émission « Quotidien » de Yann Barthès sur TMC. Depuis, l’humoriste lausannois continue d’enchaîner, sur les planches, dans les festivals, les galas, sur Internet.
Flirtant bien souvent avec les limites de la bienséance, il aborde les dossiers délicats comme les sujets anodins. Ce jeune homme est promis à une belle carrière.