María de Buenos Aires

Entre passion, succès et obscurité, María, représentation allégorique de toute une ville, navigue dangereusement entre l’ombre et la lumière. Dessinée d’une couche de réalisme et de symbolisme, l’adaptation de María de Buenos Aires nous entraine vers un parcours historique qui nous éclaire sur l’existence du tango.

Genève, Grand Théâtre de Genève,

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Dès CHF 17.-

Première fois au Grand Théâtre de Genève
Ven. 27 oct. – 20:00
Dim. 29 oct. – 18:00
Mar. 31 oct. – 19:00
Mer. 1 nov. – 19:00
Ven. 3 nov. – 20:00
Sam. 4 nov. – 20:00
Dim. 5 nov. – 15 :00

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Grupo Compay Segundo

Carambole, Festival et convention de cirque

María de Buenos Aires

Elle est véritablement créée en 1968, dans un théâtre peu connu au centre de la capitale d’Argentine, par le compositeur Astor Piazzolla et Horacio Ferrer.

Étant initialement un spectacle musical, María de Buenos Aires est associée à deux types de musique bien distincts : l’opéra et le tango.

La pièce raconte l’histoire d’une jeune femme, María. Elle quitte son emploi à l’usine, dans les faubourgs de Buenos Aires, pour devenir une célèbre chanteuse dans les cabarets de la ville. Succès qui fera place au malheur, elle sombre et meurt seule. Pris de regrets, son âme erre dans les rues jusqu’à ce qu’elle croise un esprit qui lui propose une nouvelle vie.

Symbolique et métaphorique, le personnage de María représente le tango, qui fut à une époque, une danse pratiquée dans les maisons closes. Renaissant de ses cendres telles que la protagoniste, le tango est considéré aujourd’hui sous un meilleur jour.

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