La Mòssa
Cinq voix, cinq personnalités et des chants chargés d’histoires et d’émotions qui déclinent de multiples facettes de la femme.
La Mòssa en italien c’est le mouvement. La Mòssa, en napolitain, c’est le roulement du bassin avec le coup de hanche final inventé par Nini Tirabouchon dans les années 20.
La Mòssa est comme une femme curieuse qui se balade dans le monde. Les oreilles et les yeux grands ouverts, elle cherche ce qui l’inspire, ce qui lui donne envie de raconter, de chanter. Elle porte avec fermeté et précautions, dans son petit sac, les chants qui l’ont touchée.
Armées de souffle et de percussions, elles chantent à cinq voix hautes les polyphonies d’ici et d’ailleurs.
De l’Italie au Brésil, en passant par l’Albanie, La Finlande, la Réunion ou l’Occitanie, ce quintette polyphonique aux voix magnifiques, exprime une façon de chanter a capella, incarnée, vibrante, mouvante et émouvante.
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