Bab L'Bluz + Mafila Ko + Sourdurent
4ème Journée des Musiques du monde en Auvergne-Rhône-Alpes
Bab L’Bluz
Gnawa psyché rock
Crée à Marrakech en 2018, Bab L’Bluz est né du rêve de propulser le Guembri (la guitare des Gnawas) sur les scènes musicales internationale des musiques actuelles. Véritable hommage aux racines intarissables de la culture Gnawa, irrésistiblement psyché, indéniablement rock, biberonné à la funk, Bab L’Bluz est un véritable point de rencontre intercontinental.
Yousra Mansour : Chant, Awisha, Percussions / Brice Bottin : Guembri, Voix, Percussions / Hafid Zouaoui : Batterie, Pad, Voix / Jérôme Bartolome : Flûte, Percussions, Voix
Mafila Ko
Musique d’Afrique de l’Ouest / Irlande / Jazz
Mafila Ko est un trio de musiciens, mais aussi un trio de cultures, une rencontre entres des univers musicaux en provenance d’Afrique de l’Ouest, d’Irlande et teintés de jazz et d’’improvisation.
Sur scène et dans son album Zaouli, le groupe nous fait découvrir avec virtuosité des instruments qui n’ont certainement jamais cohabité auparavant, au sein d’un répertoire de composition : la kora et le n’goni (harpes africaines) avec le uilleann pipes (cornemuse irlandaise), le tin et low whistle (flutes irlandaises), le chant en djoula (Langue mandingue d’Afrique de L’Ouest), le bodhran (percussion irlandaise), et la Contrebasse.
Un beau métissage pour une rencontre dont l’écoute ne vous laissera pas indifférent.
Julien Moneret : contrebasse, guitare / Adama Koeta : kora, n’goni, chant / Julien Desailly : flutes, uilleann pipes, bodhran
Sourdurent
Franco-occitan hybride et réinventé
Sourdure, l’entité solo du musicien Ernest Bergez, devient Sourdurent, une déclinaison plurielle renforcée de quatre musiciens roués aux musiques traditionnelles et aux expérimentations débridées.
Toujours enraciné dans le répertoire du Massif central, les nouveaux arrangements ne craignent pas l’hybridation – répertoires imaginaires ou ré-imaginés, empruntés aux traditions grecques, perses ou maghrébines.
En ressort une musique qui s’adresse autant aux oreilles, aux pieds, qu’aux tripes et peut-être au cœur. Ce peut-être un bal, un concert ou cérémonie spontanée. La langue y prend une place centrale, faisant office de matière musicale autant que de tremplin poétique et émotionnel. Entre le français et l’occitan, un langage personnel émerge et se fraye un passage au milieu des mots anciens, passés de bouche en bouche.
Ernest Bergez : violon, voix, électronique, podorythmie / Jacques Puech : cabrette, voix, podorythmie / Elisa Trebouville : banjo, voix, fifre / Loup Uberto : luth trois cordes basse, voix, tambourin
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